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Randonnée Gorges de Carançà. faite en Juillet 2022
Magnifique circuit de randonnée situé à Thuès entre Valls - Pyrénées Orientales.
Déconseillé aux personnes sensibles au vertige, le chemin a été aménagé dans
la roche et équipé par de nombreux dispositifs (passerelles, ponts suspendus,
vire taillée à flan de falaise), parfois impressionnants et étroits.
Les Gorges de la Carança, paradis à proximité de Villefranche de Conflent en direction d'Andorre.
Située sur la commune de Thuès entre Valls, cette randonnée ne vous laissera pas indifférents !
En effet, rocs, passerelles et corniches voilà ce qui vous attend. Plusieurs parcours pour plusieurs
niveaux de randonnées.
Creusée en 1943, la corniche desservait le chantier lors du percement du tunnel captant les eaux
de la Carança pour alimenter l'usine hydroélectrique de Thuès. Quel que soit le choix de votre promenade,
qui peut aller de l'heure à plusieurs jours, la découverte de la fôret profonde, les corniches
vertigineuses ou le frisson que donne le torrent au franchissement d'un pont suspendu,
vous inciteront à la prudence tout en appréciant une balade hors du commun.
Merci de votre visite A demain ..............
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L’Ukraine et la Russie dans l’Antiquité : le grenier à blé d’AthènesBon, évidemment, parler d’Ukraine et de Russie dans l’Antiquité est un complet anachronisme.Au Vème siècle av. J.-C., les steppes de la Russie du Sud et de l’Ukraine actuelle étaient peuplées,non de Russes et d’Ukrainiens bien sûr, mais de nomades, les Scythes, lesquels dominaient despopulations d’agriculteurs sédentaires dont on ne sait que fort peu de chose.Hérodote désigne ces derniers sous le doux vocable de Scythes laboureurs, histoire de nous fairecomprendre à quoi ils occupaient leurs journées.Cette région possédait alors – tout comme aujourd’hui - des sols extrêmement riches (et doncproductifs) : les célèbres terres noires, les tchernoziom (je suis sûr que vous vous souvenez devos cours de géo au collège).Soit dit en passant, ce terme de tchernoziom provient du russe чёрная земля (tchornaïa zemlia),qui signifie… terres noires évidemment.Bref, revenons à nos Scythes laboureurs.Ces derniers cultivaient donc toutes sortes de blés pour le plus grand profit des Scythes pas laboureursqui collectaient lesdites céréales – ça ressemble à l’accumulation socialistes primitives vantée par uncertain Joseph S. quand on y pense – pour les vendre aux Grecs en général et aux Athéniens en particulier.A ce propos, si il y a une chose qui ne change pas, c’est bien la nature des échanges entre une économiedéveloppée (Athènes par exemple) et une économie qui ne l’est pas (les Scythes laboureurs). La premièreexporte des produits manufacturés (de la céramique notamment) et des produits de luxe et importe desmatières premières. Pour la seconde, c’est bien sûr l’inverse.Attirés par ce commerce lucratif, les Hellènes (et les garçons) s’étaient du reste empressés de fonderun chapelet de colonies sur les rives de la Mer Noire, pardon, du Pont Euxin, notamment sur les côtesde l’actuelle Crimée, la Tauride des Anciens.Avec le développement de la puissance d’Athènes, le contrôle de la route maritime qui conduisait del’aride Attique aux ports de la rive nord du Pont Euxin devint un enjeu stratégique de première importance.C’est d’ailleurs en luttant pour contrôler les détroits que les Athéniens furent finalement défaits auterme de la guerre du Péloponnèse. Et c’est encore en tentant de maintenir leur contrôle sur la précieuseroute qu’ils furent confrontés à l’impérialisme expansionniste de Philippe II (pas celui de Braudel, non,l’autre, le papa d’Alexandre).Ci-dessous : le monde d’après Hérodote. Dans le cercle rouge, le Pont Euxin et le domaine des Scytheslaboureurs et nomades. Carte : Bibi Saint-Pol.
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LES AIGUILLES DU TEMPS
Pour nous mettre à l'heure de l'essentiel
Il faut avoir un sacré toupet pour oser affirmer qu'on peut, comme ça, d'un coup de baguette
magique, "changer d'heure". Cette expression de la langue française m'a toujours chatouillé et
même irrité les oreilles. Si peu que l'on soit attentif au sens des mots, cette formule est l'indice
d'une volonté à peine dissimulée de toute-puissance sur le mouvement des planètes et même sur le
dieu Chronos qui, habituellement, prend un plaisir fou à imposer sa loi implacable.
Personnellement ce "changement d'heure" ne modifie pas grand chose dans le rythme que je me
donne pour respecter mon horloge personnelle. Bien sûr, je pousse les aiguilles des machines à
compter le temps, mais j'essaie, le plus que je peux, de ne pas bousculer les choses. Je note,
d'ailleurs, que dans d'autres cultures, il est plusieurs manières de qualifier le temps: temps qui
"passe" (Regret), temps opportun de l'instant présent (Abondance), temps du poète qui s'étire
sans fin (Éternité).
Nous allons "changer d'heure", mais la question est de savoir si nous saurons profiter de ce
passage saisonnier pour mieux vivre le temps, l'apprivoiser, cohabiter pacifiquement avec lui.
Ce peut être le moment privilégié de réaliser que le temps vécu est un temps donné, un temps
offert à notre créativité. Il s'agirait moins de maitriser le temps que de se laisser sculpter
par lui, comme un ami parle à un ami et se laisse transformer par la force des liens de fidélité
et de confiance, dans la durée.
Le temps est souvent un obstacle, un adversaire redoutable. A nous d'en faire un tremplin, un
passage pacifié par la douceur du temps consenti, accepté, assumé, aimé. Si ce temps réconcilié
en vient à nous changer, c'est que nous aurons su faire du changement d'heure un pas de plus
sur le cadran de notre destinée.
Marc Maronne
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Il y a des personnes qui ont un conjoint mais qui se sentent aussi seules et vides que
si elles n’en avaient pas. Il y en a d’autres qui ne veulent pas attendre, qui préfèrent
marcher aux côtés de quelqu’un qui ne leur convient pas et qui, par égoïsme, refusent
que cette personne s’éloigne alors qu’elles savent qu’elles ne la rendent pas heureuse.
Il y a des personnes qui insistent dans des relations déjà détruites, car elles pensent
qu’être seules est difficile et inacceptable. Il y a des personnes qui décident d’occuper
la seconde place en essayant d’arriver à la première, mais leur voyage est difficile,
inconfortable et les remplit de douleur et de sentiment d’abandon.
Mais il y a d’autres personnes qui sont seules, qui vivent, qui brillent et s’offrent à la
vie de la meilleure des manières. Des personnes qui ne s’éteignent pas, au contraire,
qui s’allument chaque jour, de plus en plus. Des personnes qui apprennent à profiter de
la solitude car elle les aide à se rapprocher d’elles-mêmes, à grandir et à renforcer
leur intérieur.
Ces personnes sont celles qui un jour, sans connaître le moment exact ni la raison,
se retrouveront du côté de celles qui aiment d’un amour véritable et qui tombent
amoureuses d’une manière merveilleuse.”
Mère Teresa
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Dans cet épisode, Eckhart répond aux questions d'une femme qui cherche des idées
pour sa sœur qui a récemment été diagnostiquée avec un trouble mental. Elle veut savoir
comment Eckhart voit le diagnostic dans le contexte de ses enseignements, en demandant :
« Est-ce qu'il pourrait y avoir un bon côté ? " Eckhart dit que même si des dysfonctionnements
peuvent être présents, il met en garde contre l'utilisation des étiquettes.
Il partage également qu'il croit que de nombreuses maladies mentales sont un comportement
humain normal qui a été exagéré par l'ego. La solution, dit-il, est de rester ancré dans la
conscience chaque fois que possible. Avec de l'entraînement, il croit que nous pouvons éviter
d'agir avec des modèles inconscients. Eckhart explique qu'il y a des raisons d'espérer parce qu'un
chemin vers la guérison peut commencer même au milieu des circonstances les plus difficiles de la vie.
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