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Gorges du Tarn qui séparent l'Aveyron de la Lozère... le hameau de la Sablière,
construit sur d’énormes rochers surplombant les gorges du Tarn, est un lieu hors
du temps où l’on ne peut accéder qu’en barque ou à pied. Cet ancien ermitage du
XIe siècle, qui fut tenu par des sœurs bénédictines, est longtemps resté à l’abandon.
Il fait partie de ces petits villages enserrés entre la rive gauche du Tarn et les falaises du
causse Méjean, qui ont bien failli tomber dans l’oubli, lorsque l’arrivée de la route rive
droite a poussé leurs habitants à s’expatrier de l’autre côté de la rivière
vous désirez aller plus loin voici un lien
https://chemin-st-guilhem.fr/le-hameau-de-la-sabliere
Merci de votre visite A demain .....
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Ce qui rend les hommes insensible, c’est l’absence d’imagination.
On se représente par la douleur des autres, on imagine pas les souffrances
des autres. Dans les grandes catastrophes naturelles ou dans les guerres,
si le cinéma bouleverse tant les âmes sensibles, et même celles qui ne le
sont pas, en leur représentant les spectacles de l’horreur du monde, de
la méchanceté des éléments et des hommes, c’est qu’ils entrent par effraction
dans les imaginations assouplies. Si l’on imaginait la souffrance avec assez
de vivacité, on n’aurait plus le courage de faire du mal à personne.
~ Jean d’Ormesson
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" L'autre ne nous blesse pas : il nous révèle simplement que nos plaies n'étaient pas guéries.Nous avons cru que la rencontre avec un autre nous avait guéri. C'était une illusion, car la guérisonne vient jamais de l'extérieur, toujours de l'intérieur.La relation avec l'autre est donc pour nous un révélateur de nos manques et de nos souffrances cachées.Croire qu'une relation, quelle qu'en soit la nature, peut nous faire oublier nos manques et nos souffrancesest un leurre. Cela conduit inévitablement à la déception.En revanche, si nous envisageons nos relations avec les autres comme une opportunité de nous connaître,nous pourrons commencer à combler nos besoins et guérir nos blessures.Tant que nous nous berçons de l'illusion que l'autre possède la clé de notre bonheur, nous restons dansun état de dépendance. L'autre représente une drogue dont le sevrage nous est intolérable. Le manqueréveille notre souffrance, notre crainte et donc notre colère. "Thierry JanssenL'armure et l'amour
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De la « négritude », on connaît les pères. Mais ce mouvement culturel et politique aurait-ilexisté sans Paulette Nardal ?Qui est donc Paulette Nardal, cette accoucheuse de la "Négritude"?Née le 12 octobre 1896 en Martinique, Paulette Nardal est l’ainée d’une famille de sept sœurs.Issue d’une famille bourgeoise, elle est la fille de Paul Nardal, dont les parents avaient été esclaveset qui fut le premier Martiniquais noir ingénieur des ponts et chaussées, et de Louise Achille,institutrice et professeure de piano. Elle est élevée dans l’admiration des grandes œuvres de laculture classique occidentale, mais également dans la fierté d’être noire, contre les stéréotypes del’époque en Martinique.Première femme noire inscrite à la Sorbonne, à Paris, Paulette Nardal, était installée à Clamart dansles années 1920. Là, elle a fondé La revue du Monde Noir et y a reçu ses amis Aimé Césaire etLéopold Sédar Senghor. Dans cet appartement, que l'Histoire a oublié, va naître le concept de"négritude". Paulette Nardal en est l'instigatrice méconnue.En 1935, elle se mobilise contre l’invasion de l’Ethiopie par l’Italie. La même année, elle est la seulefemme à signer un article dans L’Etudiant Noir, aux côtés des jeunes Aimé Césaire et Léopold SédarSenghor, alors en pleine invention du concept de Négritude. Théoricienne pionnière d’une consciencenoire française, elle sera pourtant effacée de l’histoire du mouvement, même si ses fondateurs luirendirent quelques hommages discrets - Césaire en faisant apposer son nom sur une place de Fort-de-France,Senghor qui écrira « Elle nous conseillait dans notre combat pour la résurrection de la négritude ».«Césaire et Senghor ont repris les idées que nous avons brandies et les ont exprimées avec beaucoupplus d’étincelles, nous n’étions que des femmes ! Nous avons balisé les pistes pour les hommes.»~ Paulette Nardal
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c"est devenu un rituel, la montée de Eus à Comes (4Km /445 d+)
Toujours aussi belle balade sous le soleil.
Ce jour là, il faisait un beau soleil printanier
Marchons d un bon pas tout en admirant l horizon
Chemin montant bien entretenu c est un plaisir
Et voici que nous arrivons presque au village
La direction, le plan indique bien .....
Merci de votre visite A demain ......
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