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    Gorges du Tarn qui séparent l'Aveyron de la Lozère... le hameau de la Sablière,

    construit sur d’énormes rochers surplombant les gorges du Tarn, est un lieu hors

    Le hameau de la Sablière dans les Gorges du Tarn - gite Aveyron l'Oustal  Occitan 

    du temps où l’on ne peut accéder qu’en barque ou à pied. Cet ancien ermitage du

    XIe siècle, qui fut tenu par des sœurs bénédictines, est longtemps resté à l’abandon.

    Cave progressive à côté de la sablière tarn coup de poing Souvenir  Coordonner 

    Il fait partie de ces petits villages enserrés entre la rive gauche du Tarn et les falaises du

    causse Méjean, qui ont bien failli tomber dans l’oubli, lorsque l’arrivée de la route rive

    droite a poussé leurs habitants à s’expatrier de l’autre côté de la rivière 

    Cave progressive à côté de la sablière tarn coup de poing Souvenir  Coordonner 

    vous désirez aller plus loin voici un lien 

    https://chemin-st-guilhem.fr/le-hameau-de-la-sabliere

    PCULAR048V509JE4_La-sabliere-vue-en-drone Merci de votre visite A demain .....

     

     


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    Peut être une image de 1 personne, écharpe et bijoux

     

     

    Ce qui rend les hommes insensible, c’est l’absence d’imagination.

    On se représente par la douleur des autres, on imagine pas les souffrances

    des autres. Dans les grandes catastrophes naturelles ou dans les guerres,

    si le cinéma bouleverse tant les âmes sensibles, et même celles qui ne le

    sont pas, en leur représentant les spectacles de l’horreur du monde, de

    la méchanceté des éléments et des hommes, c’est qu’ils entrent par effraction

    dans les imaginations assouplies. Si l’on  imaginait la souffrance avec assez

    de vivacité, on n’aurait plus le courage de faire du mal à personne.

    ~ Jean d’Ormesson

     


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    " L'autre ne nous blesse pas : il nous révèle simplement que nos plaies n'étaient pas guéries.
    Nous avons cru que la rencontre avec un autre nous avait guéri. C'était une illusion, car la guérison
    ne vient jamais de l'extérieur, toujours de l'intérieur.
    La relation avec l'autre est donc pour nous un révélateur de nos manques et de nos souffrances cachées.
    Croire qu'une relation, quelle qu'en soit la nature, peut nous faire oublier nos manques et nos souffrances
    est un leurre.  Cela conduit inévitablement à la déception.
    En revanche, si nous envisageons nos relations avec les autres comme une opportunité de nous connaître,
    nous pourrons commencer à combler nos besoins et guérir nos blessures.
    Tant que nous nous berçons de l'illusion que l'autre possède la clé de notre bonheur, nous restons dans
    un état de dépendance. L'autre représente une drogue dont le sevrage nous est intolérable. Le manque
    réveille notre souffrance, notre crainte et donc notre colère. "

     

     

    Thierry Janssen
     
     
     
    L'armure et l'amour 
     
     

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     Peut être une image de 1 personne

    De la « négritude », on connaît les pères. Mais ce mouvement culturel et politique aurait-il
    existé sans Paulette Nardal ?
    Qui est donc Paulette Nardal, cette accoucheuse de la "Négritude"?
    Née le 12 octobre 1896 en Martinique, Paulette Nardal est l’ainée d’une famille de sept sœurs.
    Issue d’une famille bourgeoise, elle est la fille de Paul Nardal, dont les parents avaient été esclaves
    et qui fut le premier Martiniquais noir ingénieur des ponts et chaussées, et de Louise  Achille,
    institutrice et professeure de piano. Elle est élevée dans l’admiration des grandes œuvres de la
    culture classique occidentale, mais également dans la fierté d’être noire, contre les stéréotypes de
    l’époque en Martinique.
    Première femme noire inscrite à la Sorbonne, à Paris, Paulette Nardal, était installée à Clamart dans
    les années 1920. Là, elle a fondé La revue du Monde Noir et y a reçu ses amis Aimé Césaire et
    Léopold Sédar Senghor. Dans cet appartement, que l'Histoire a oublié, va naître le concept de
    "négritude". Paulette Nardal en est l'instigatrice méconnue.
    En 1935, elle se mobilise contre l’invasion de l’Ethiopie par l’Italie. La même année, elle est la seule
    femme à signer un article dans L’Etudiant Noir, aux côtés des jeunes Aimé Césaire et Léopold Sédar
    Senghor, alors en pleine invention du concept de Négritude. Théoricienne pionnière d’une conscience
    noire française, elle sera pourtant effacée de l’histoire du mouvement, même si ses fondateurs lui
    rendirent quelques hommages discrets - Césaire en faisant apposer son nom sur une place de Fort-de-France,
    Senghor qui écrira « Elle nous conseillait dans notre combat pour la résurrection de la négritude ».
    «Césaire et Senghor ont repris les idées que nous avons brandies et les ont exprimées avec beaucoup
    plus d’étincelles, nous n’étions que des femmes ! Nous avons balisé les pistes pour les hommes.»
    ~ Paulette Nardal

     

     

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    c"est devenu un rituel, la montée de Eus à Comes (4Km /445 d+)

    Toujours aussi belle balade sous le soleil.

     Ce jour là, il faisait un beau soleil printanier

     Marchons d un bon pas tout en admirant l horizon

     Chemin montant bien entretenu c est un plaisir

     

     Et voici que nous arrivons presque au village 

     La direction, le plan indique bien .....

    Peut être une image de carte, route et texte qui dit ’Comes Alt 794m 619 D35C Arboussols Î ç1h10min 1h10 min 4Km 445d+ Eus Alt 349m Village de gîtes de groupe ALTER ET GO... D35 D24 D35 Accrobranche Canyoning. Fermétemporairement D24 D35 Marquixanes MOULIN-DE LA PASSERE’

     Merci de votre visite A demain ......

     


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