• En ce jour je vous propose une balade vers l'Anse du Fontaulé

     

    Allons y, une brise matinale nous aide bien ....

    Au loin Cap Béar

              Peut être une image de nature

     Nous nous aventurons sur la roche, avec prudence ......

    Peut être une image de côte et nature          

     Roche de l anse .......

    Mer calme et profitable pour les baigneurs

    Peut être une image de plein air

    C est bien un port .........

    Peut être une image de 2 personnes, côte, océan et nature

    Pêche à la ligne tranquillement , chatouille le poisson

    Peut être une image de 1 personne, étendue d’eau et nature 

    Vue sur le Port .......

    Peut être une image de plein air 

    Merci de votre visite à demain ............


    15 commentaires
  •  

    Apres les danseurs folkloriques International nous voici avec les Catalans

     

    les danseurs catalan Amelie les bains au 79eme festival folklorique international 

     

    Diverses danses, diverses figures .........

     

    La Danse du Bâton 

     

     

     

    Peut être une image de 4 personnes, personnes debout et intérieur

     

    Peut être une image de 5 personnes, personnes debout et intérieur

     

    Les tambourins ..........

     

    Peut être une image de 8 personnes, personnes debout et intérieur

     

    Peut être une image de 8 personnes, personnes debout et intérieur

     

    Merci de votre visite à demain .........

     


    9 commentaires
  •  Peut être une image de une personne ou plus et texte qui dit ’Phrase du jour La vie m'a arraché les larmes Mais elle n'a pas réussi à effacer sourire. La vie m'a brisé le coeur... Mais elle n'a pas réussi à froisser mon âme. La vie m'a dérobé plusieurs envies... Mais elle ne m'a jamais dépouillé de mes rêves. La vie pourra, au fil du temps, m'imposer des rides sur le visage... Mais elle ne fera jamais vieillir mon coeur.’

     

    LA VIE...

    La vie m'a imposé ses blessures
    Mais elle ne m'a pas empêché de les refermer
    Les cicatrices étant comme des moisissures
    Elles sont une trace que l'on ne peut totalement effacer
    La vie m'a donné du fil à retordre
    Mais elle m'a toujours incité à lutter
    Contre les injustices et le désordre
    Quitte à en payer un prix élevé
    La vie m'a fait perdre beaucoup de gens
    Mais m'a donné de proches parents
    Qui, dans les moments difficiles et éprouvants
    Savent se rendre disponibles et aimants
    La vie, cette étincelle égale à une comète
    Qui fait de notre voyage une poussière sur la planète
    Est une épopée incroyable, par saynètes
    Qui laissent des traces irrémédiables dans nos têtes !
    © Nicolas BOUVIER

    12 commentaires
  • Peut être une image de étendue d’eau

     

    Petit billet inoffensif:
    Le grand livre de la vie
    La question de l'identité et donc de la perception de ce que nous sommes est intimement liée au récit intérieur que nous faisons, plus ou moins consciemment, de notre histoire de vie. Difficile d'approcher la question névralgique du "qui suis-je?" sans faire référence à cette façon spontanée et automatique de mettre en mots notre vie. Mon histoire et mon passé attendent patiemment le fruit de ce que je suis aujourd'hui pour revisiter les allées sinueuses de ce que je fus naguère. Ce que nous croyons être et vivre est lié à ce scénario enfoui au fond de nous.
    Par exemple, pendant longtemps, mes parents ont dit de moi que j'étais réservé, calme dans mon coin, silencieux et réfléchi. Cette image parentale m'a fait croire que j'étais ainsi en réalité. En fait, le reste de mon itinéraire, professionnel notamment, a surtout démontré que j'étais inquiet, avide de connaître, soucieux de ne pas me contenter de la surface des choses et des événements. Il fallait à tout prix que je me fasse mon opinion personnelle, jusqu'à l'obsession parfois. Aujourd'hui, c'est différent...très différent. J'ai pris l'habitude d’appréhender la réalité avec plus de distance et de sérénité. Voire avec amusement et ironie, même lorsque les faits paraissent plus rebelles que je ne l'avais intuité de prime abord.
    Tout ceci pour vous dire qu'il me semble que nos "héritages" éducatifs doivent être travaillés pour devenir des acquis remaniés par nos valeurs et nos besoins propres. C'est un vrai travail sur soi qui prend des années et des années. L'écriture m'a beaucoup aidé à opérer cette métamorphose progressive. Elle m'a appris que les mots génèrent une représentation de mon existence encore plus féconde que la perception première du réel.
    Au-delà des faits et des événements, il y a cette source du retour vers soi dans l'écriture qui m'attend pour faire mémoire d'une parole intime qui me recrée à chaque instant. Quel bienfait apaisant...
    Marc Maronne

    9 commentaires
  •  

     

     

    2022 / 13 : A L’AVENTURE
    Est-ce que c’était gravé dans les astres qu’elle devait être présente ce jour-là ? Le musée Guimet, dédié aux arts asiatiques, est inauguré le 20 novembre 1889 – Alexandra David a tout juste 21 ans. Elle découvre ce jour-là la richesse d’univers lointains. Sa vocation d'orientaliste et de bouddhiste nait de ce choc originel.
    Peut-être que son terrain intime rendait possible pareil choc : de par son éducation, son histoire familiale, elle se pose depuis toujours des questions sur le monde. Sur le fonctionnement de la société. Sur le lien avec la transcendance. Elle observe le réel avec acuité, sans se contenter de réponses rapides. Elle cherche, elle multiple les rencontres, des intellectuels, des militants, des artistes – elle veut se forger un avis personnel – oui, elle, une jeune demoiselle, à une époque où les femmes sont écartées des zones de savoir et de pouvoir.
    Très vite, tout s’emballe : pour s’assurer un métier, Alexandra étudie le piano et le chant au Conservatoire royal de Bruxelles. Puis elle part à Londres, pour fréquenter assidument la bibliothèque du British Museum et plonger dans des ouvrages rares, qui évoquent l’Inde, la Chine, le Japon. L'année suivante, elle s’installe à Paris pour s'initier au sanskrit et au tibétain… Elle ne tient pas en place, elle n’a peur de rien, elle se consacre corps et âme à sa passion, un feu qui ne s’éteindra jamais.
    Pendant une dizaine d’années, elle se partage entre ses tournées de cantatrice, ses études érudites sur le Bouddhisme, et ses engagements sociaux. Lors de cette période effervescente, elle trouve quand même le temps de se marier, à Philippe Néel, un ingénieur. Mais le quotidien conjugal ne lui convient pas. Elle étouffe.
    Le 9 août 1911, à l’âge de 42 ans, elle quitte cette vie pour repartir vers cet orient qui hante ses pensées. Elle a promis à son mari de revenir dans 18 mois… Promesse qu’elle repoussera à plusieurs reprises : elle ne sera de retour qu’en mai 1925 ! Un voyage de 14 ans, ce n’est plus un voyage : c’est une odyssée. Que fait-elle pendant ces années ? Elle arpente le nord de l’Inde, les montagnes de l’Himalaya, le Népal, la Mongolie, la Corée, la Chine, le Japon. Elle passe du temps dans des monastères, elle approfondit sa pratique de la méditation, elle échange avec les moines les plus sages, elle lit et traduit les textes sacrés.
    Toujours cette boulimie de comprendre, de poursuivre sa quête existentielle et mystique. Elle écrit beaucoup – des kilomètres de notes, et des lettres à son époux. Tout un matériel littéraire qui lui sera essentiel à son retour alors qu’elle publiera plusieurs livres sur ses expéditions – et notamment sur son passage à Lhassa, capitale du Tibet, ville alors interdite aux occidentaux. Par ses travaux, elle participera grandement à faire connaître les philosophies orientales en Europe.
    Alexandra David-Néel vivra 100 ans. Elle repartira encore, elle cherchera toujours, elle écrira inlassablement. Une vie intense, vécue les yeux grands ouverts, poussée par sa curiosité, son courage, sa liberté, pressée par son envie d’accéder à la vérité, percer les mystères, traverser cette frontière fine entre visible et invisible.
    Pourquoi je vous parle d’elle aujourd’hui ? Parce qu’elle a une place centrale dans mon panthéon personnel. Une sorte de mentor. J’aime penser à elle quand la mer tangue, puiser de la force en contemplant son chemin. Me souvenir, grâce à elle, que le destin est une aventure à tenter, que les limites peuvent être bousculées, que les épreuves peuvent être dépassées. Parce que j’ai tellement envie de repartir à l’autre bout de la planète, vers ce sous-continent indien où mon âme se sent à la maison. Parce qu’on a besoin de modèles humanistes, des personnalités qui ont osé s’ouvrir à la différence, à l’inconnu, à la fraternité – qui nous indiquent la voie à prendre vers une infaillible confiance.
    > Cette chronique fait partie de la série 2022 "de la confiance", parce que la confiance, en soi, en l’autre, en la vie, je suis convaincue que cela change une trajectoire humaine… Vous aimez ce que je publie ? Tant mieux ! Visitez ma page pour retrouver de la poésie, des idées lecture, et les autres chroniques que j’écris depuis 2016. Et si vous croyez en la nécessité de faire sa part de colibri, partagez ce texte.
    > Besoin de #motsdoux dans vos oreilles ? Découvrez le pouvoir de la #poésie contemporaine à travers des capsules courtes et pétillantes. La saison 2 du podcast "L'Expérience Poétique" a démarré en mars. Elle est disponible gratuitement sur toutes les plateformes (spotify, deezer, apple podcast, amazon, youtube, etc)…. Je vous lis mes poèmes préférés pour vous offrir un shoot de beauté et d’#optimisme : que du bon !
     
     
    https://www.profession-gendarme.com/texte-prophetique-dalexandra-david-neel-sur-les-passeports-les-vaccins/
     

    12 commentaires