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Une randonnée vous transportant, au siècle passé, dans la vie au cœur du massif des Albères.
Une belle maison bien baties qui tient les siècles
passage en escaliers bien entretenu
un ruisseau proche ou s ecoule son eau limpide et propre
coin pique nique
point de vue sur le village proche
un sous bois et ses consolidations sommaires
cabanes ou orris qui servaient d abris, ou de reserves
Je vous laisse tranquillement poursuivre la visite de ce sous bois
entre ombres et lumières,
Cabanes ou orris qui tiennent toujours debout malgré le temps et les vicissitudes
Une source, un bel amandiers en fleurs
Allez encore quelques mètres et nous arrivons à notre fin de circuit
une vue plongeante qui ne laisse pas indifférente, Merci de votre visite ......
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Ce jour, nous partons faire une virée en Equateur
Nous étions partis faire un trek vers cette communauté
ou nous avons été héberger par le Padre
Le pays des Lamas
La population s entraide pour la récolte du jour
En ce jour férié de carnaval #riobambatumeilleurplanLa Moya est située dans la paroisse rurale de Calpi à 10km de Riobamba, un projet de tourisme communautaire a été développé ici avec des infrastructures pour fournir les services d'hébergement et de nourriture. L'offre touristique est basée sur l'expérience de la relation de l'homme avec la montagne sacrée Chimborazo, sur les légendes et les traditions de cette communauté comme le métier des Glaciers et son itinéraire bien connu et le musée de la montagne : “Urkukunapak Was i" où les mythes sont affichés et légendes de cette montagne.Le touriste pourra profiter de parcours sur les sentiers que les communeros utilisaient autrefois pour atteindre les mines de glace, dans la partie supérieure du colosse. Une visite au musée est également proposée où les touristes peuvent en savoir plus sur ce mode de vie.SERVICESAlimentation : Le restaurant a été construit dans le style andin, le menu contient de la nourriture typique où des plateaux de pelocs, fèves, maïs et diverses céréales sont les protagonistes.Artisanat. Dans la boutique d'artisanat, on peut trouver des produits fabriqués par les mains habiles des femmes de la communauté, à base de fibres d'alpaga, de flamme et de mouton ; dans laquelle on produit des pulls, des bonnets, des écharpes, des gants, des sacs, des boucles d'oreilles et des collare s de différentes couleurs, tailles et modèles.Hébergement : Urkukunapak Wasi, un terme kichwa qui signifie Maison des montagnes. Ce projet touristique communautaire comprend trois chambres pouvant accueillir 16 personnes.Musée : La Moya dispose d'un musée communautaire avec 2 salles d'interprétation où vous pouvez faire une visite interactive sur toute l'histoire des glaciers de la communauté ; traditions, coutumes, croyances, légendes, mythologie et la vie elle-même des habitants liés à la montagne ; connus aussi avec révérence dans leur langue maternelle (Wakas) ou espaces sacrés – esprits protecteurs. ontagne ; connues aussi avec respect dans leur langue maternelle (Wakas) ou dans les espaces sacrés – esprits protecteurs.Sentier d'interprétation :LOUP GNAN : Randonnée d'environ 2 heures pour connaître la faune et la flore indigènes jusqu'à ce qu'on arrive à la fauchée où se cache furtivement le loup de Paramo, alias le renard andin.INKA ÑAN : Parcours d'environ 4 heures, en écoutant l'histoire des ruines des Incas aller jusqu'au plus haut de la communauté pour observer de cette vue privilégiée les majestueux enneigés qui entourent notre canton.ROUTE DES Glaciers : une expédition de 8 heures à cheval sur les glaciers à 4900 msnm est effectuée, où l'expérience du glacier est présentée depuis la récolte de la paille à emballer jusqu'à la découpe et le transfert sur les mules.Les plats typiques qui nous sont servishttps://www.facebook.com/associationahuana/un lien vous menant vers FB qui presente la communauté et ses activitésLes amis de la communautéLes fruits et légumes cultivaient dans le coinhttps://www.mifuguemiraison.com/fr/riobamba-volcan-chimborazo-equateur/ un lien à suivreUn métier de plus de 60 ans, pour appeler des événements importants dans la communauté de la Moya, la tradition est maintenue. Jorge MIñarcaja a 75 ans, a toujours vécu sur la Moya, est l'un des plus anciens indigènes de la communauté Moya. Il est dans l'agriculture.
C'est un klaxon depuis l'âge de 14 ans. En dehors de son père, personne d'autre dans sa famille n'a appris à klaxonner, il dit avec une certaine tristesse que c'est l'un des derniers klaxons.Klaxon appelle, appelle, c'est pour la fête, pour les situations les plus sérieuses. Il pense que c'est important pour sa communauté, parce que c'est un art magnifique et fait partie de l'essence de son peuple. Aujourd'hui, il accueille les touristes avec le klaxonMerci de votre visite à demain .........Le Padre Pierrick devant une belle fresque
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ESSENTIELDans la tentative d'évasion des temps modernesOù les visages sont devenus pâles et ternesL'essentiel est ailleurs, aux confins de la natureDans la forêt enneigée ou ponctuée de verdure !Au diable l'identification numérique et la reconnaissance facialeLe crédit social, l'intelligence artificielle, le coup fatalDe l'ubérisation des cerveaux et de toute la sociétéIl est urgent de revenir à l'authenticitéAprès avoir classé en deux camps les essentiels et les inutilesOn voudrait nous parler de liberté, ce mot devenu futileDans les esprits brillants des couloirs dorés des palaisQui ne connaissent que les réseaux et les grandes alléesL'équilibre de l'humain réside dans le choixQu'il fait pour sa vie et pour ses droitsIl n'en a pas oublié tous ses devoirsMais il veut simplement conserver ses avoirsVoilà mon QR code, il n'est ni d'encre ni de papierIl réside dans les paysages, les terroirs qui ont faitMes souvenirs et qui m'inspirent mes récitsTout simplement parce que leur beauté n'a pas de prix !© Nicolas BOUVIER
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Aux arbresArbres de la forêt, vous connaissez mon âme!Au gré des envieux, la foule loue et blâme ;Vous me connaissez, vous! - vous m'avez vu souvent,Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant.Vous le savez, la pierre où court un scarabée,Une humble goutte d'eau de fleur en fleur tombée,Un nuage, un oiseau, m'occupent tout un jour.La contemplation m'emplit le coeur d'amour.Vous m'avez vu cent fois, dans la vallée obscure,Avec ces mots que dit l'esprit à la nature,Questionner tout bas vos rameaux palpitants,Et du même regard poursuivre en même temps,Pensif, le front baissé, l'oeil dans l'herbe profonde,L'étude d'un atome et l'étude du monde.Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu,Arbres, vous m'avez vu fuir l'homme et chercher Dieu!Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches,Nids dont le vent au loin sème les plumes blanches,Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux,Vous savez que je suis calme et pur comme vous.Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s'élance,Et je suis plein d'oubli comme vous de silence!La haine sur mon nom répand en vain son fiel ;Toujours, - je vous atteste, ô bois aimés du ciel! -J'ai chassé loin de moi toute pensée amère,Et mon coeur est encor tel que le fit ma mère!Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours,Je vous aime, et vous, lierre au seuil des autres sourds,Ravins où l'on entend filtrer les sources vives,Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives!Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois,Dans tout ce qui m'entoure et me cache à la fois,Dans votre solitude où je rentre en moi-même,Je sens quelqu'un de grand qui m'écoute et qui m'aime!Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît,Arbres religieux, chênes, mousses, forêt,Forêt! c'est dans votre ombre et dans votre mystère,C'est sous votre branchage auguste et solitaire,Que je veux abriter mon sépulcre ignoré,Et que je veux dormir quand je m'endormirai.Victor Hugo1802 -1885
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Aujourd hui Je vais vous parler de
Maria Sophia Margaretha Catharina von Erthal, née à Lohr en 1729, en Bavière
Nous connaissons tous , bien évidemment , le conte de fée de Walt Disney(1937) « Blanche-neige et les sept nains » tiré des écrits des frères Grimm (1857) ; mais ce que nous ignorons presque tous c’est que le personnage du conte de fée tire son inspiration d’une personne bien réelle : Maria Sophia Margaretha Catharina von Erthal, née à Lohr en 1729, en Bavière .Maria Sophia est la fille d’un richissime propriétaire terrien , le prince Philipp von Erthal et de son épouse, la baronne Eva von Bettendorf. Voilà pourquoi la mère de Blanche-neige porte ce prénom dans le conte de fée . C’était tout simplement le vrai prénom de sa mère . Son père exploitait autour du château familial les terres forestières ainsi que des mines de cuivres et de pierres précieuses .Ces mines difficiles d’accès et basses de plafonds nécessitaient des personnes de petites tailles comme main d’œuvre ou bien encore des enfants . Ils étaient affublés de bonnets colorés pour être repérés plus facilement dans les sombres couloirs de la mine . Ils étaient logés dans de minuscules masures au fin fond de la forêt , groupés par sept .Lorsque Maria Sophia entra dans sa dixième année , sa mère quitta ce monde brutalement . Peu de temps après arriva sa nouvelle belle mère , Claudia Elisabeth von Venningen, la comtesse impériale de Reichenstein.Très vite , celle ci nourrira une jalousie féroce pour celle que les habitants de Lohr décrivait comme " une fille d'une beauté inhabituelle qui était charitable envers les pauvres et les souffrants. ” ( archive de la ville de Lorh )Lorsque arrivèrent les noces , le père de Maria offrit à sa promise un miroir sur laquelle était écrit « amour de soi » en référence à l’extrême narcissisme de sa femme.Mais pourquoi ce miroir fut il décrit comme magique dans le conte des frères Grimm?Tout simplement parce qu’il était accroché dans une pièce à forte résonance ou l’écho de la voix de celui qui s’y regardait prenait une grande ampleur . A l’époque , peut être qu’il fut considéré comme magique car il semblait répondre à son interlocuteur .Le miroir peut encore être admiré au château du Prince .A 16 ans , ne supportant plus les souffrances infligées par sa belle mère , Maria s’enfuit au delà des sept collines dans la « maison des sept nains » . Il est encore aujourd’hui possible de refaire ce trajet dans la forêt de Spessart.Lorsque son père mourût , les mines fermèrent et Maria trouva refuge dans un couvent où elle trouvera la mort « empoisonnée » par une pomme du jardin à l’âge de 71 ans .Le prince salvateur dans le conte est tout simplement une allégorie de la mort représentée à l’époque par un cheval blanc . Il en est de même pour le baiser , nommé « baiser de la mort » car il semblait prendre le dernier souffle de vie , la médecine ne connaissant pas le poul à l’époque . Le prince de la mort l’emporte donc avec lui à tout jamais .La tombe de « Blanche-neige » a été retrouvé en 1998 dans le couvent .
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