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Il fut un temps où presque toutes les familles rurales britanniques qui élevaient des abeilles suivaient une étrange tradition.Chaque fois qu'il y avait un décès dans la famille, quelqu'un devait se rendre aux ruches et annoncer aux abeilles la terrible perte qui avait frappé.Ne pas le faire entraînait souvent d'autres pertes : les abeilles quittaient la ruche, ne produisaient pas assez de miel ou même mouraient.Traditionnellement, les abeilles étaient tenues au courant non seulement des décès, mais aussi de toutes les affaires familiales importantes: naissances, mariages et longues absences dues à des voyages. Si les abeilles n'étaient pas informées, on pensait que toutes sortes de calamités allaient se produire.Cette coutume particulière est connue comme "l'annonce aux abeilles".Cette pratique trouve peut-être son origine dans la mythologie celtique, selon laquelle les abeilles étaient le lien entre notre monde et le monde des esprits.Ainsi, si vous souhaitiez transmettre un message à un défunt, il vous suffisait de le dire aux abeilles et elles le transmettaient.La façon typique de le faire était que le chef de famille, ou la "bonne épouse de la maison", se rendait aux ruches, frappait doucement pour attirer l'attention des abeilles, puis murmurait doucement, tristement, la nouvelle solennelle.Au fil des siècles, selon les régions, des particularités se sont développées. Ainsi, dans les Midlands de l'est, les épouses des défunts chantaient tranquillement devant la ruche : "Le maître est mort, mais ne partez pas ; Votre maîtresse sera une bonne maîtresse pour vous."En Allemagne, un couplet similaire disait : "Petite abeille, notre maître est mort, ne me laisse pas dans ma détresse".C'est un fait que les abeilles nous aident à survivre.70 des 100 principales espèces cultivées qui nourrissent 90 % de la population humaine dépendent des abeilles pour leur pollinisation.Sans elles, ces plantes cesseraient d'exister et avec elles tous les animaux qui se nourrissent de ces plantes. Cela pourrait avoir un effet en cascade qui se répercuterait de manière catastrophique sur la chaîne alimentaire.La tradition de "l'annonce aux abeilles" souligne ce lien profond que les humains partagent avec l'insecte.Auteur inconnuHans Thomas Art.
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Commentaires
bonjour Bérénice , eh bien une tradition que je ne connaissais pas et ces abeilles sont intelligentes ... mais bon on se demande !!
merci gros bisous A+
bonjour Berenice !! qu'elle curieuse tradion anglaise mais interessante à connaitre j'aime beaucoup aussi le petit tableau du debut !! bonne journée bises amitiées jean-pierre
J'adore cette coutume et je pense que si on respectait la nature de cette manière, en lui parlant au lieu de la massacrer, la planète nous remercierait...malheureusement, l'humanité s'imagine propriétaire de la terre, ce qui est une grave erreur...
Moi je parle aux abeilles quand j'en vois et je les remercie d'être là...
Bisous et bonne journée
Coucou Bérénice ,
J'ai déja lu ça quelque part .
Perso je n'ai pas peur des abeilles et quand je désherbe mes massifs et que j'en une qui vient chanter dans mes oreilles je lui dis doucement que je ne suis pas une fleur.
Il est inutile de s'agiter comme le font certains et j'apprend a mes petits enfants de ne pas les tuer ni a en avoir peur.
Je n'avais pas vu tes messages , je réponds dans la journée .
Bisous du matin.
J'entends cela pour la première fois et je pense que c'est une belle tradition dont les origines se perdent dans la nuit des temps..
Bon mercredi
Bonjour Bérénice, Côté santé, ça se maintient , je suis allée au bout du jardin hier, ça fait du bien mais aujourd'hui, pas de soleil et il fait froid donc je vais éviter de sortir à moins que le soleil se lève cet apm. Nous irons cueillir des pissenlits pour nos petits lapinous
Bon mercredi, amicalement Danie
J'adore cette coutume et moi aussi je parle aux abeilles , lorsque je jardine et qu'elle viennent sur moi , je les laisse faire.
Nous avons un apiculteur non loi de chez nous et il m'a été d'un grand secours lorsque je me suis trouvée avec un essaim
dans mon jardin .....plus de 30000 abeilles d'après lui .
Joli ton article , je te souhaite une belle journée ; Toute mon amitié
bonjour bérénice ,
Sauvages et tellement sympathiques, les abeilles n’ont pas leur pareil pour nous faire voir le monde autrement !
prenons en soin de notre mère nature belle journée et gros bisous monette
Bonjour Bérénice,
J'ai beaucoup aimé ton texte et je ne connaissais pas du tout cette tradition.
C'est une belle coutume et à présent lorsque je vais être à côté d'une ruche je vais y penser.
Douce journée. Je t'embrasse
Bonjour à toi Bérénice!
Une bien jolie peinture que voilà et une très jolie tradition. Je ne connaissais pas par contre.
Moi j'aime bien les bourdons et je dis aux petits de ne pas les ennuyer et ils ne nous ennuieront pas, qu'ils ne font que leur travail. La même chose pour les abeilles.
Par contre, pour les guêpes et frelons, c'est une autre histoire!
Ici, le ciel est très gris et il a plu toute la nuit. On annonce même de la neige encore!!! Donc, la température se refroidit.
Gros bisous à toi et bonne journée. Merci pour ta visite!
Réjeanne.
Coucou je ne connaissait pas cette tradition on en apprend tous les jours j'adore merci bonne soirée bisous
bonsoir mon amie .une bien jolie coutume que je ne connaissais pas mais qui me plait bien..bonne soirée ..bises amicales YVETTE
En espérant quand nous venons laisser notre message, que les abeilles n'ont pas leurs oreilles bouchées avec un bouchon de cire, lol, bisous JL
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Bonjour Bérénice,
merci pour ce texte. Il faut prendre soin des abeilles. malgré que je n'aime pas qu'elles m'approchent. Peut être une randonnée pour toi? En ce milieu de semaine, je te souhaite un bon mercredi ensoleillé. Bisous.