• Le capitaine c'est toi

    Combien de fois avons-nous douté de notre potentiel et donné vie à nos peurs? "Je ne suis pas assez bien..."

    Combien de fois avons-nous tellement cru en nos blocages que nous leur avons donné vie? Au détriment de notre pouvoir créateur de conscientisation et d'action. "Oui mais dans ma famille on a toujours fait ainsi..."

    Combien de fois avons-nous crée des blocages par la non connaissance de soi? "Je ne suis pas capable..."

    Combien de fois nous sommes-nous positionnés en victime plutôt qu'en plein acteur de notre vie? "Oui mais avec mon enfance, c'est plus difficile pour moi..."

     

    Nous sommes des êtres spirituels incarnés dans la matière. Chacun d'entre nous vivons l'expérience de l'illusion de l'égo, de ce personnage crée de toute pièce depuis notre naissance dans cette vie. Les dogmes, les traditions et le quand dira-t-on a fait de nous de sages brebis totalement coupées de leur conscience.

     

    Aujourd'hui, en ces temps de grand changement, nous est donné l'opportunité de nettoyer ces mémoires, ces croyances qui trop longtemps nous ont asservis, opprimés, emprisonnés.

    Aujourd'hui, nous est donné l'opportunité de désapprendre afin de nous alléger afin de nous élever vers notre réalisation.

    De nous libérer. Nous libérer afin de cheminer vers notre plein potentiel. Ce plein potentiel qui nous mènera à notre chemin de vie, à cette merveilleuse "mission" dont nombreuses personnes sont à la recherche.

    Parfois, nous aurons tendance à être orgueilleux, et à nourrir la croyance que certains chemins de vie sont "plus", sont "meilleurs" que d'autres. MAIS IL N'EN EST RIEN. Car nous faisons partie de la Grande Chaine de l'Humanité.

     

    Et que deviendrions-nous les uns sans les autres? Les commerçants sans fournisseurs, les usagers sans chauffeurs de bus, les mamans sans médecins, les chefs d'entreprise sans secrétaires ou comptables? Que deviendrions-nous sans les agriculteurs, les infirmières et les boulangers? Les hommes sans les femmes et les femmes sans les hommes? Les victimes sans bourreaux, et les sauveurs sans victimes?

     

    Car nous nous apportons tous les uns aux autres. Et nous apprenons tous les uns des autres.

     

    Aujourd'hui, il est question de nous libérer progressivement des croyances éducatives et de nous élever vers une humanité consciente et puissante individuellement.

    Aujourd'hui, en ces temps troubles et inconfortables, une seconde chance nous est donnée.

    Aujourd'hui, il est question de désapprendre et de comprendre que le seul maître de notre expérience de vie c'est SOI et uniquement SOI.

     

    Alors, osez être vous m'aime. Osez agir en fonction de tout ce qui est bon, juste et vrai pour vous. Ne vous laissez plus dicter votre vérité que par votre intériorité. Soyez un bon capitaine pour votre navire!

     

     

    Cécile Brail


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    Bonjour Vendredi - images et citations | Topbonjour.com


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     Bonjour Vendredi - images et citations | Topbonjour.com


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     bon vendredi et bon week-end .... - lalouve22


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      Le maître zen, Hakuin, vivait dans une ville du Japon.

      On le tenait en haute estime et bien des gens venaient l’écouter dispenser ses enseignements spirituels.

      Un jour, la fille adolescente de son voisin tomba enceinte.

      Les parents de cette dernière se mirent en colère et la réprimandèrent pour connaître l’identité du père.

      La jeune fille leur avoua finalement qu’il s’agissait d’Hakuin.

      Les parents en colère se précipitèrent chez lui et lui dirent en hurlant et en l’accusant que leur fille avait avoué qu’il était le père de l’enfant.

       

      Il se contenta de répondre: « Ah, bon ? »

      La rumeur du scandale se répandit dans la ville et au-delà.

       

      Le maître perdit sa réputation et plus personne ne vint le voir.

       

      Mais cela ne le dérangea pas.

      Il resta impassible.

      Quand l’enfant vint au monde, les parents le menèrent à Hakuin en disant : « Vous êtes le père, alors occupez-vous en ! »

      Le maître prit grand soin de l’enfant.

      Un an plus tard, prise de remords, la jeune fille confessa à ses parents que le véritable père de l’enfant était le jeune homme qui travaillait chez le boucher.

      Alarmés et affligés, les parents se rendirent chez Hakuin pour lui faire des excuses et lui demander pardon.

      «Nous sommes réellement désolés.

      Nous sommes venus reprendre l’enfant.

      Notre fille nous a avoué que vous n’étiez pas le père. »

      La seule chose qu’il dit en tendant le bébé aux parents fut :

      « Ah, bon ? »

      Le maître réagit de façon identique au mensonge et à la vérité, aux bonnes nouvelles et aux mauvaises nouvelles.

      Il dit « Ah, bon ? ».

      Il permet à la forme que prend le moment, bonne ou mauvaise, d’être ce qu’elle est.

      Ainsi, il ne prend pas part au mélodrame humain.

      Pour lui, il n’y a que ce moment, ce moment tel qu’il est.

      Les événements ne sont pas personnalisés et il n’est la victime de personne.

      Il fait tellement un avec ce qui arrive que ce qui arrive n’a aucun pouvoir sur lui.

      C’est seulement quand vous résistez à ce qui arrive que vous êtes à la merci de ce qui arrive et que le monde détermine votre bonheur ou votre malheur.

      Il a pris soin de l’enfant avec beaucoup d’amour.

      L’adversité se transforme en félicité grâce à son absence de résistance.

      Et, répondant encore à ce que le moment présent exige de lui, il rend l’enfant quand c’est le moment de le faire.

      Imaginez un instant comment l’ego aurait réagi au cours de ces divers événements.

      E.Tolle

      Nouvelle terre

     

     

     


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