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    RADHA RAJAGOPAL : Depuis que ce livre a été publié en Angleterre en mai 1991, j’ai reçu de nombreuses lettres et coups de téléphone. Mes correspondants, presque tous sans exception, m’ont exprimé leur gratitude pour avoir contribué à dissiper les zones d’ombre que j’évoquais dans ma première préface.

    De mieux connaître le côté humain de Krishnamurti et les contradictions entre son enseignement et sa vie privée a renforcé la signification de cet enseignement plutôt qu’il ne lui a nui.

    De mon côté, je suis reconnaissant à tous ces contacts. Ils m’ont fortifiée dans mon espoir que la plupart d’entre nous ne craignent pas de faire des découvertes susceptibles d’altérer notre perception de la réalité et que chacun est libre de tirer parti de ces découvertes en fonction de ce qui lui paraît essentiel en tant qu’individu responsable.

    Mon regret est que Krishnamurti n’ait pas vécu assez longtemps pour voir ce livre, car j’ai fait tout mon possible pour qu’il sorte de son vivant. Il ne l’aurait peut-être pas lu, mais il aurait su qu’il était là et au moins une partie de lui aurait compris pourquoi je devais l’écrire.

     

    Source : « Vies dans l'Ombre avec J. Krishnamurti »

     

    . une partie de lui aurait compris pourquoi je devais l'écrire » dixit Radha Rajagopal.

     

    Oui, une partie de Krishnamurti, dans sa dimension la plus humaine, aurait très certainement compris et approuvé ce beau cadeau que Radha Rajagopal nous a fait à travers son livre : nous libérer de Krishnamurti en détruisant l'image idéalisée et infantile que nous avons plaqué sur lui en le prenant pour plus qu'un homme.

    « A Krinsh (Krishnamurti), je suis reconnaissante pour beaucoup de choses. Dès ma plus tendre enfance, il m'enseigna à être libre de la recherche désespérée de respectabilité et de sécurité, de gourous, maîtres et idéologies. J'appris de lui que les comparaisons et les étiquettes mènent aux préjugés et au malheur, et le conformisme à de médiocres imitations, qu'il ne peut pas y avoir de liberté là où il y a culpabilité et peur. Il me libéra de lui et m'enseigna à ne pas avoir peur d'aller sans but dans un pays sans chemin. » [Radha Rajagopal]

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  • Commentaires

    1
    Jeudi 3 Décembre 2020 à 19:05

    Bonsoir aller sans but mais je préfère dans un pays avec chemins lol...bises et merci pour cette belle lecture

    2
    Jeudi 3 Décembre 2020 à 19:52

    Rahda, Raja, Krisnha et compagnie , pas facile tout ça, bisous JL

    3
    Lundi 22 Novembre 2021 à 16:49

    Merci de votre passage amical 

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